Derrière le solaire et l’éolien, «la véritable énergie verte de substitution, adoptée en Allemagne et promue contre le nucléaire français, était les centrales à gaz, fonctionnant grâce au gaz russe», affirme Richard Clément, ingénieur français diplômé de l'École Polytechnique, commentant le rapport sur le sabotage du nucléaire civil français.